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guise quand vous avez trouvé mes vœux conformes à la saine raison. Ah ! mon père, je ne veux pas pousser plus loin la comparaison ; elle nous serait cruelle à tous deux, dans un sens inattendu pour vous. Mais sachez que je n’ai jamais passé un seul jour sans vous révérer, sans vous aimer, et ce n’est pas à justement parler ma pauvre sœur, c’est moi qui ai été votre Benjamine ! »

FIN.