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Ch. XLVII. C’est par le Pape que l’Infaillibilité est dans l’Église 
 198
Ch. XLVIII. C’est par le Concile que l’Église est présente au Pape 
 202
Ch. XLIX. C’est à Pierre que Jésus dit : Pais mes agneaux. pais mes brebis 
 207
Ch. L. Ce que Jésus dit à Pierre, ce qu’il dit à tous les Apôtres 
 213
Ch. LI. Pourquoi Jésus donne à Simon le nom de Pierre 
 222
Ch. LII. L’Église, bâtie sur Dieu comme le monde 
 225
Ch. LIII. Les définitions des Conciles 
 231
Ch. LIV. Le concile séparé du Pape 
 243
Ch. LV. L’appel au futur concile 
 253
Ch. LVI. La souveraineté, dans l’Église, ne saurait être maintenue ni exercée par les Conciles 
 261
Ch. LVII. Pourquoi le Concile ? 
 271
Ch. LVIII. Rien n’est séparé de Pierre, ni l’Église, ni le Concile, ni les pouvoirs d’ordre, ni ceux de juridiction ordinaire 
 281
Ch. LIX. Concordance en l’Église, des pouvoirs d’ordre, et du Pouvoir de haute Juridiction 
 288
Ch. LX. Admirable coexistence des pouvoirs d’ordre, de haute Juridiction et d’Infaillibilité 
 297
Ch. LXI. Effets sublimes de la Hiérarchie 
 306
Ch. LXII. Atteinte à la hiérarchie, atteinte à notre Civilisation 
 315
Ch. LXIII. Indépendance temporelle de l’Église 
 321
Ch. LXIV. Du droit de Dieu 
 331
Ch. LXV. Réflexions relatives à notre Temps 
 337
Ch. LXVIe et dernier. Vous êtes la Lumière du monde ! 
 346
CONCLUSION
OU
POLITIQUE RÉELLE.
I. Base de la Société moderne 
 349
II. Erreur qui détruit cette base 
 354
III. Comment l’erreur s’érige en doctrine 
 360
IV. Le fait contredit cette erreur 
 366
V. L’état de Nature 
 368
VI. Il n’y a pas d’état de Nature 
 370
VII. La Révolution sort de l’idée de l’état de Nature 
 372
VIII. Le panthéisme, métaphysique de la Révolution 
 375