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LES PERCE-NEIGE.


ACROSTICHE.


E Ile était jeune et j’étais solitaire,
U n jour le ciel me la fit rencontrer,
P auvre exilé, sur la terre étrangère
H eureux alors, je jurai de l’aimer.
É tonnez-vous, s’il vous plaît, de ma chance,
M ais le Bon Dieu bénira nos amours ;
I ci je crois, par moments, être en France,
E n me disant : « Je l’aimerai toujours. »