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CONTES FAMILIERS

son commerce. Mais bientôt il se trouva trop riche, pour travailler tant et gagner si peu. Avec ses doubles louis d’or et ses quadruples d’Espagne, il acheta cent métairies, et un beau château, où il vécut longtemps heureux, avec sa femme et ses enfants[1].

  1. Dicté par Pauline Lacaze, de Panassac (Gers). Une leçon, identique pour le fond, m’a été fournie par M. Garine, d’Agen, qui l’avait écrite sous la dictée de feu Jacques Testas, agenais illettré, âgé de soixante-quinze ans.