UEMAU(JLES ) I I
elle importe peu, n'étant précisément qu'une o|)inion, c'est-à-dire la résultante d'un ensemble d'impressions de caractère tout subjectif.
Laissons au contraire à chacun le soin d'interpréter à son idée les faits que j'ai exposés au cours de ce travail. Mais je tiens, en terminant, à affirmer de nouNcau l'en- tière réalité de ces phénomènes : il est désormais hors de doute pour moi que le médium, en état de transe, extériorise une certaine substance, qui peut présenter des aspects divers.
C'est là le résultat tangible et certain des expériences que je viens de faire connaître; je crois avoir ainsi atteint le but que je visais en commençant ce travail et qui était simplement de démontrer que les phénomènes dits de « matérialisations », correspondent à quelque chose de très réel et sont dignes de faire l'objet d'études scientifiques.
Puis-je mieux faire, en terminant, que de citer cette phrase du D' Maxwell^ : ... « Puisse mon livre décider quelques expérimentateurs de bonne volonté à essayer d'observer à leur tour!... Puisse-t-il contribuer à faire considérer les phénomènes que j'ai étudiés comme des faits naturels dignes d'être utilement observés et sus- ceptibles de nous faire pénétrer plus profondément que tous autres dans la connaissance des lois qui régissent la nature... »
I. f.es phi'nomènes psrcliifjtii's, p. 317.
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