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Je commence par donner quelques-unes des 25 phrases qu’Armande a écrites pendant la séance d’expériences. Le commencement de la phrase, qui avait été composé par moi-même, est en italiques, le reste, qui est écrit par Armande, est en caractères ordinaires.
phrases à compléter
(Armande, 11 novembre 1900)
- Je suis entré dans la campagne par un sentier couvert.
- Il faut avoir de la patience, car on vient à bout de toute chose avec cette qualité.
- Il pleut, et le sol est glissant, la rue est détrempée.
- La maison s’élève sur une hauteur d’où l’on voit un précipice, puis une ville et son bruit sourd et lointain arrive faiblement.
- Lorsqu’on est obligé de faire une chose qui vous ennuie, il faut la faire avec de la bonne volonté.
- La foudre qui tombe peut tuer bien des personnes qui auront eu l’imprudence de s’abriter sous un arbre qui l’attire.
- C’était le soir, il neigeait en silence et de temps à autre j’entendais le vent qui ronflait dans la cheminée et je m’effrayais de sa violence.
- Je me dépêche de vous écrire, car je n’ai plus guère de temps à vivre.
- Sourire, par complaisance et sans en avoir envie.
- Si vous ne sortez pas, il faudra me le dire.
- Car l’humidité vient vite au bord de l’eau.
- L’étoile brillait et semblait me conduire, lorsque je me sentais découragée, je la regardais et alors je reprenais ma route solitaire.
- Si par hasard quelqu’un vous marche sur le pied il ne faut rien dire.
- Vous vous trompez, voyez, le soleil brille déjà, les nuages sont dissipés.
- J’écoutais, le menton appuyé sur la main, cette vieille histoire, racontée avec émotion dans une veillée.
- En grognant, les vieux soldats marchaient toujours sous la pluie.
- L’aile du corbeau s’ouvrit et il s’élança dans l’espace semblant défier les airs.
- Si est assez souvent bémol.
- Jamais le courage ne devrait nous abandonner.