que la courbe d’un individu est à peu près constante d’un jour à l’autre, et même à plusieurs années d’intervalle.
On mesure le travail du doigt à l’ergographe comme on mesure un travail mécanique, en multipliant la longueur par le poids. Dans la première figure, le poids était égal à 4 512 grammes, la somme de hauteurs de soulèvement est de 426 millimètres, donc le travail mécanique calculé en kilogrammètres est égal à 1 922 kilogrammètres. Dans le second tracé le poids est égal à 3 535 grammes, la somme des hauteurs à 539 millimètres, donc le travail à 1 805 kilogrammètres.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5e/FI-d187-fig._67_-_Courbe_ergographique_-_homme.png/400px-FI-d187-fig._67_-_Courbe_ergographique_-_homme.png)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/bf/FI-d187-fig._68_-_Courbe_ergographique_-_femme.png/250px-FI-d187-fig._68_-_Courbe_ergographique_-_femme.png)
Nous pensons qu’on peut faire quelques critiques à ce calcul. Pour l’admettre, il faudrait admettre aussi que le premier centimètre parcouru par le poids est équivalent comme travail au troisième centimètre, et qu’en d’autres