Cette page a été validée par deux contributeurs.
Avec tristesse le militaire regarde le ciel ; les étoiles scintillent encore, mais pâlissent, car au fond de la nue les nuages d’azur se teintent ; le jour va bientôt paraître, l’écho lointain de l’angelus tinte — sa voix semble chanter au monde : Paix, paix aux hommes de bonne volonté, plus de guerres, plus de carnages, au fourreau remettez votre épée, aimez, adorez votre Dieu, Noël, Noël, le Sauveur naquit pour vous faire chrétiens ; il mourut, vous demandant de marcher sur ses traces en devenant bons Samaritains. Aimez-vous, aimez-vous les uns les autres, le vrai bonheur est à ce prix.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e9/Bibaud_-_L%27homme_qui_pense%2C_1925_%28page_14_crop%29.jpg/100px-Bibaud_-_L%27homme_qui_pense%2C_1925_%28page_14_crop%29.jpg)
— 16 —