Cette page a été validée par deux contributeurs.
tit, sur l’heure, fit raser son fort, le lendemain ; s’embarqua, le 11, et arriva, le 20, à Montréal[1].
M. de Frontenac pensait sans doute, en avoir fait assez pour porter les Iroquois à accepter la paix, aux conditions qu’il lui plairait de leur imposer. Il fit néanmoins plusieurs détachemens de ses troupes, afin de les harceler jusqu’à l’automne.
- ↑ On prétendit lui avoir entendu dire, en donnant l’ordre du retour, « qu’on voulait obscurcir sa gloire, » ou plus explicitement, « que le gouverneur de Montréal était jaloux de sa gloire, et que c’était pour l’effacer, qu’il voulait l’engager dans une entreprise dont le succès était incertain. »