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Le prieuré, Primavera, Le mariage de Monique. — Monlaur : Le rayon, Après la 9e heure, Âmes celtes, Jérusalem. — Mlle Monniot : Le journal de Marguerite, Marguerite à vingt ans.

Mme Neulliès : L’idée de Ghislaine, Le secret de Rita.

Mlle de Pitray : Tous ses ouvrages. — Pravieux : Monsieur l’aumônier, Oh ! les hommes. Séparons-nous.

Sandeau : La roche aux mouettes. — Mlle Schultz : La neuvaine de Colette. — Serge d’Ivry : Christiane. — Sheehan : Mon nouveau vicaire. — Mme de Stolz : Tous ses ouvrages.

J. Des Tourelles : Tous ses ouvrages.

Wiseman : Fabiola.

Anonyme : Les confidences de Marguerite.




II. Pour les jeunes gens des Patronages




Les jeunes gens des patronages ne lisent guère, — à l’intérieur de leur œuvre, — et surtout ne lisent guère de romans. L’éducation physique, religieuse, morale et professionnelle absorbe presque tout leur temps et toutes leurs énergies : et si parfois, aux jours de pluie, ou entre deux parties de jeu, ils sont admis à ouvrir un livre, ils se portent d’instinct vers les ouvrages illustrés, les albums récréatifs, et les revues dont leurs directeurs connaissent la variété et la valeur.

On nous saura gré, cependant, — nous en sommes persuadé — d’indiquer pour les bibliothèques des jeunes, quelques romans ou récits d’aventures dont l’expérience a partout consacré le succès.

Aimard : Le Robinson des Alpes. — Assolant : Aventures de Corcoran, Pandagron, Histoire du célèbre Pierrot. — d’Aveline : Le trésor de l’île des flibustiers.