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A. Gennevraye, pseudonyme de la vicomtesse de Lepic, née Janvier de la Motte. Pour tous : Le marchand d’allumettes (pas d’esprit chrétien, mais du cœur) ; La petite Louisette ; Théâtre de famille.

Pour les jeunes gens sérieux : Le roman d’un sous-lieutenant (paru dans Le Correspondant) ; Histoire invraisemblable, etc…


Jules Gérard (1817-1864), officier de spahis, qui a raconté ses aventures dans des livres émouvants et chrétiens : Le tueur de lions ; Chasses au lion ; Dernières chasses ; Voyages et chasses.


Frédéric Gerstaker (1816-1872), romancier allemand, émigré aux États-Unis.

Parmi ses romans qui décrivent la vie américaine, nous citons : Une charmante habitation ; La maison mystérieuse. Les mères en permettront la lecture à leurs filles et ne leur interdiront généralement pas : Les brigands des prairies ; Les deux convicts ; Le peau-rouge ; Les pionniers du Far-West ; Les pirates du Mississippi ; Les voleurs de chevaux ; Scènes de la vie californienne.


Jules Girardin (1832-1888), normalien, professeur, dont les ouvrages pour la jeunesse sont pleins de finesse, de sentiment, d’intérêt psychologique, et souvent d’esprit chrétien.

Les aînés liront avec profit et intérêt : Les locataires des demoiselles Rocher ; Mauviette ; La nièce du capitaine ; Les théories du docteur Wurst ; La toute petite (avantages de la douleur).

Tous : Les braves gens (histoire d’un enfant pendant la guerre de 1870) ; Les certificats de François ; Les épreuves d’Étienne (peu religieux) ; Les remords du docteur Ernster ; Le roman d’un cancre ; Grand-père ; Fausse route (le devoir chrétien) ; Disparition du grand Krausse ; Le capitaine Bassinoire ; etc…