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sans prendre de rides au moins aux yeux de ses nombreux admirateurs.


Julie Borius, alias A. Verley, née à Brest en 1862. Elle a signé de ses deux noms, un grand nombre de romans bien faits et bienfaisants : Une dette de cœur ; En roulotte ; Notre aînée ; Le pardon du grand père ; Une perfection ; La place de l’absent ; Sur un piédestal ; Un vieux manoir ; Tous jeunes ; Miss Fantaisie ; Dernier rayon ; Les chambres de Fernande ; Petite Françoise ; Dans la bonne voie ; etc.


Madame Bourdon (Mathilde Lippens, Madame Froment, puis) née à Gand en 1817. Résida pendant quelques années à Lille, où son second mari était magistrat ; après la retraite de celui-ci, elle vint se fixer à Bailleul, où elle conquit toutes les sympathies par sa charité et son exquise amabilité ; elle y mourut le 22 décembre 1888. Ses ouvrages essentiellement moralisateurs, se trouvent dans toutes les bibliothèques catholiques.

Andrée d’Effauge ; Henriette de Bréhault ; Euphrasie ; Léontine ; Le divorce ; Mémoires d’un agent de change ; Rivalité ; Les béatitudes ; Quelques heures de solitude ; Types féminins seront donnés aux plus grandes des jeunes filles.

Parmi ses œuvres qui peuvent être lues par tous, nous citons : Anne-Marie (scènes de la Révolution, triste) ; Antoinette Lemire ; Marthe Blondel ; Parente pauvre (toutes trois pour les ouvrières) ; Denise ; Le droit d’aînesse (qui devient un devoir de dévouement) ; Fabienne et son père (triste) ; La famille Reydel ; La femme d’un officier (dans le mariage, les qualités avant la fortune) ; La ferme aux ifs (contre les vanités) ; L’héritage de Françoise ; Le lait de chèvre (une écervelée qui se corrige) ; Le ménage d’Henriette (beaucoup lu) ; Le pain quotidien ; Souvenirs d’une institutrice