Page:Bethléem - Romans à lire et romans à proscrire, 7e éd.djvu/267

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Étienne Marcel, de son véritable nom Mme  Caroline Thuez, que certains lexiques ont confondue avec Mme Jules Samson, sa collaboratrice d’antan au Journal des demoiselles. Elle est morte en 1914.

Nous nommons seulement, parmi tant de bons livres : L’Hetman Maxime (couronné par l’Académie) ; Les aventures d’André ; Elle et moi ; Souvenirs d’une jeune fille ; La vengeance de Giovanni ; Pour une rose ; Histoire d’une corbeille de noces ; Laquelle ; Pour la patrie ; La ballade du Lac ; Armelle ; Le roman d’un crime ; L’héritière ; Irène ; Petite sœur


Mlle  Marie Maréchal (1831-1879), a publié un certain nombre de romans intéressants et religieux. Elle réussit surtout dans les petits tableaux de genre, éclairés d’un rayon d’humour et de malice, et où ressortent avec relief les ridicules de certains bourgeois de province.

Nous réservons pour cette catégorie : Béatrix (un peu sentimental) ; L’institutrice à Berlin ; La fin d’un roman (suite du précédent) ; Le parrain d’Antoinette ; Journal d’une âme en peine ; Mademoiselle Creen ; Mademoiselle de Charmeille ; Marcelle Dayre ; Mariage à l’étranger ; Mariage de Nancy ; La roche noire ; Sabine de Rivas.

Nous recommandons aux plus jeunes : Aventures de Jean-Paul Riquet ; La cousine de Lionel ; Famille Tolozan (édifiant) ; Nos petits camarades (24 récits un peu monotones, pour enfants) ; La maison modèle (pour enfants) ; La dette de Ben-Aïssa (id.).


Frédérick Marryat (1792-1848), romancier anglais dont les œuvres sans prétention, mais sans grand danger, ont été pour la plupart traduites en français : Pierre Simple ; Le vieux commodore ; Le pirate ; Deux amours ; Jacob fidèle ; etc…


Adolphe Mary mériterait d’être plus connu, parce