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pas au point surtout sur le mariage) ; Les fleurs d’or ; Les revenantes ; Sœur Alexandrine ; Les demoiselles de Saint-André.

Les sœurs cadettes se plairont certainement à lire : Un coup de patte ; En deux mots ; Mme Melchior ; Noëlle ; Anaïs Evrard ; Le duc Jean ; Cadette de Gascogne ; L’idéal de l’oncle Caillou ; Les deux marquises.

Tous les lecteurs se sentiront, en présence de ces livres sains et fortifiants, saisis de respect pour ce qui est vraiment beau et qui élève l’âme.


Claire de Chandeneux (1836-1881), pseudonyme de Mme  Bailly, née Emma Bérenger, femme et mère d’officiers supérieurs. Ses romans étudiés, bien conduits, intéressants et bien écrits sont surtout consacrés à la vie militaire.

Ceux qu’il ne faut pas confier à des lecteurs trop jeunes sont : Giboulées de la vie ; Le lieutenant de Rancy ; La tache originelle ; Une faiblesse de Minerve ; Sans cœur ; Une fille laide ; Visions d’or ; Les filles du colonel ; L’honneur des Champavaire ; Le mariage du trésorier ; et aussi, quoique avec moins de réserve : L’automne d’une femme ; La croix de Monguerre ; Les deux femmes du major ; La dot réglementaire ; La femme du capitaine Aubépin ; Les ronces des chemins ; Secondes noces ; Souvenirs de Bérénice ; Vaisseaux brûlés ; et ceux qui font partie des deux séries intitulées Les mariages militaires et Les mariages de garnison.

Quant aux autres, nous les classerions volontiers aussi dans cette catégorie.


Gui Chantepleure, de son vrai nom Mme  Edgar Dussap, née Jeanne Viollet (Paris, 1875). Sa plume fertile et délicate a tracé des nouvelles qui sont beaucoup lues : Ma conscience en robe rose ; Le château de la vieillesse (pour tous) ; Fiancée d’avril ; Ruine en fleurs ; Le sphynx blanc ; Âmes féminines ; Mon ami l’oiseau bleu