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M. Reepmacker (Rotterdam, 1858), romancier hollandais dont les œuvres ont obtenu en France une certaine célébrité : L’école des Rois (roman politique, thèse et intentions bonnes, style et détails beaucoup moins bons) ; Septime César (roman des temps du Christ, erreurs évangéliques) ; La peine du Dam (obscur et étrange) ; Emma Beaumont (l’amour à la faveur de la métempsycose) ; Carlo Lano (ennuyeux) ; Vengeance.


Georges Régnal pseudonyme de M. (Florence, 1848) et Mme Langer (Paris, 1852). Parmi leurs romans : 'Maurianne ; M. le Docteur ; Vendredi 13 ; Toujours ; Mademoiselle Pas d’amour ; Deux tendresses ; etc…


Jean Reibrach (Givors, 1856), de son vrai nom M. Chabrier, ancien capitaine d’infanterie, a écrit d’abord des romans naturalistes et des contes.

Il paraît s’être fixé ensuite dans la psychologie. Nous citons : Par l’amour ; À l’aube ; Les sirènes (honnête). La nouvelle beauté (prévoit dans un avenir lointain, comme aboutissant au féminisme, une société nouvelle, basée sur l’individualisme, l’union libre et le socialisme d’État) ; La houle ; La maison du bonheur (païen et sensuel).


Rémy Saint-Maurice, pseudonyme de Maurice Diard, né en 1864. Nous citons : Les Èves stériles (plaidoyer en faveur de la maternité) ; Éternelle folie (recueil de contes) ; Les derniers jours de Saint-Pierre (idylle délicate fleurissant sur un volcan).


Mme Gabrielle Réval, de son nom véritable. Mme Laforterie, née Logerot (Viterbe, 1870). Son premier ouvrage Les Sévriennes a fait sensation. Il fut suivi d’Un lycée de jeunes filles et de Lycéennes. Ces trois volumes ne sont pas pour les honnêtes femmes. L’avenir de nos filles, est un répertoire attrayant des pro-