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’elfes font, dispeasent toujoura de lu ri : plume. m

Bruy.) — Att ire part.

Loc. adv. Ailleurs, dans un mie Rau.

— D’autre part, Loc. adv.

d’un autre roté.

— Avec marc, l’adv. bien prend la _Nepos. is sans article. nuSi l’on dit t Bien d’outres que vous, et non bien der autres. •

AUTREFOIS. adv. (et. fr., autrefois). An. enennernent, au temps passé. Autrefois on penasit ainsi. Autrefois on ne pensait pus comme a ’m'essait. C’était uutrefois la fameuse. Les hommes d’autrekie étaient, dit-on, plus sommas que ceux d’oujourd’bui Ainsi les dé-

CTCM des conciles, l’antienne tradition du mint-mégect de rEglise catholique ; sont plus eomme autrefois des lots sacre., et Maintables. (Basai Les chrétiens ne connaissent plus la suinte frayeur doucin était saisi ourse- (ois à cause du saint sarrillee. (1d.) Vau, nous rem accecuumes à ces grande événements, qui Passaient autrefois pour impossibles. (Vleck) Les rois, en des sietles plus innocents, furent autrefois eux selèmes les juges du peuple. let) Toutes.les ilistinetinns odieuses qui divisaient autrefois les hommes sont anéanties par l’Emanade. (cuots.) 1.6 lecture des divines Ecritures faisait autrefois les plus cbéres délicce des premiers fidèles. (Id.) Je trouve qu’elle se met avec plus de soin qu’elle ne toisait autrefois. (3.- 3. Rouas.) La science S’est dévatop. liée par lex mêmes causes qui la réprimaient autreseis. (11.) — Oppose à atdourdensi, staintenund, etc. Il’autrefois sortir du monde pour entrer dans l’Eglise, au lieu qu’on entre aujourd’hui dents l’Enlise en m’are Lumps que dans le monde. (Pau.) L’élévation des sentiments pouvait faire datrefofs les héros de la gloire, mais c’est la bassesse et l’avdissument qui font aujourd’hui ceux de la t’immune. (Mass.) — Cet adverbe. se met quelquefois au con• mcncement de la phrase. A utreCuis on croyait nox sorciers.

Aprés un nom modifia par un ou plusieurs n.ljectifs, il se ont entre le nom et l’adjectif ou ka adjectifs. Cette ale autrefois superbe, I grande et tosenilsque. Dans ces muet, autrefois st saints, si renommes. (Bol.) — Quand il modifie un verbe, il ac place après. On dînait autrefois s deux heures. 11 soie uutresols trias-riche, —e est accompagna tifi participe, il se place cette lui et. l’auxiliaire, e moins que ce par. ticips n’ait qu’une syllabe, car alors on le met ais suite du partier pe. C’est en vain que Rome et la Grèee teillent autrefois multiplié à yin- 6ui, les images de leurs rois et de leurs Césars. (Mass.) lorsque autrefois est placé e la en du vers, il faut que le sens demeure suspendu jusqu’au vers suivant.

Ce prince dont mon mous su faisait autrefois Mec tarit de idrusir redue les espitais, (Bectais..) Il peut infamnoms terminer In vers et le sens, lorsqu’il exprime quelque opposition. Nos rides Mir son Iront ont gravi tes exploita, L nous disent encor cri qu’il frit outreras.

Consend.e.) gaann autrefois est mecedé de l’article, ou dem adjemif detenamasse il n’est plus ad. verbe, et il doit alors S’écrire eut deux mots. Je mut accompagnerai une autre fois. Dans contins enambome, ce mot doit s’écrire et : ah : nient en deux mots, quoique non précédé de l’article ou d’un équivelent. Quelquefois il cade, d’outrer foie il s’entéte à faire perdre patience. Il faut écrire d’astres fois, cor ici on veut parler d’un nombre de Cote détermine. —

Cet admire te moue quelquefois cmployé sulatantivenment. Je vous crus autrefois, cet autrefota n’est plus. (P. le M.) SYn. UMM. ANCirtii : Mietir. ; Mari tinsie., r o i s. A f f l i e n h i i i i i e n t me dut particulièrement on perlant des images, des « Jammes, dm moeurs arase nos joies. Joes exprime un temps (est &nef., de retendue duquel un n’a pes unu Idée bien précise. Aujourd’hui est le contraint de’joli,. Autrefois signifie Dues un temps Puyé ois il existait d’autres circonstances, d’antres Males, d’antres opinions quo présent. A retient te le contraire d’auenfeu.

AlfTREIBER. à. ea. (et. fr., autre, hier). nient mot qui signifiaia Axent-hier.

1 la 1 ’rand j’eu ?. l’antroh&r, q ine soudent, Si fort nier la corneille en son ebbe, lest on grand ces. d’al e alors. est n’adrIent Quelque nielleur bilait r eu mari règne. (: •ssal.) A Lel’ItELIEIL ad.. Vieux nos qui signifiait Ailleurs.

AUTREMENT. adv. (ét., V, sures). D’une Mare façon. Faisons autrement. Il faut vigie namerrent• Je ne le veux mu comme cela, je le vrai nettement, 11 ne fout Croire sp mal mie quand on ne peut par foire autrement. Comment surcot-on pu masser antretserd la plupart de ces masseras’(Pest.) On croit d’abord qu’on ne peut nt penser ni dire autrement. (Pb : eh.) la est •lenea des diens arasement en dispose. Les héros chez Quinnult prieur hien autrement. (aail.) 5iirane rais Piles-lui one An-% sage, qu’autrement il Men tronyrra mal.l l vous a vendu sa prourieté à telle condition, autrement il n’eut pas voulu s’en défaire. Ce n’est Pas une conduite contraire à celle des saluts, de rire des errems et des Égarements des hommes ; autrement il faudrait Meitner celle des plus grands testeurs. (Pue.) II y a des gens qui voudraient qu’un auteur ne parle jamais des choses dont les aunes ont parle ; cotre matison l’accuse de ite rien dire de nouvean. (Id.) Il faut que les rois n’exigent de la soumismon du peuple que Ce que les lois leur permettent d’en exiger ; autrement ils ne sont glus les pères et les protecteurs de leurs peuples, ils en sont les ennemis. (Mass.) nouveau elmoisismantileetleipouSeSUrPheure ; Autrement.ei leur sort demeure encorduuteus, Je jure à mon retour qu’ils periront tous deux.

☞ stratM.Y.) — Autrement que. Il aga autrement qu’il ne parle. Il n’agil pas autmenent qu’il parle. Ils ne servissient pas de vivre autrement que leurs ancètres. (Boss.) Des hues singulièrement constitues doivent takesmirmnent s’exprimer autrement qu, e les hommes °rainais«.

☞-J. lieuse.) L’essentiel est ne penser autrement rem les autres. (Id.) Il est incapable de s’imaginer que des grands pensent autrement de sa personne qu’il fait lui-reame. : La Bruy.) Il Dans ce denier exemple, l’auteur a supprimé la négation, contre l’usage ordinaire, Tnut autrement. Beaucoup plus. Ce fait est tout autrement important. Des lois tout Ore. (retient faciles à observer. (pare.) L1 joie de faire du bien est tout autrement douce et touchante, que la joie de le recevoir. (Mass.) — Tout eudrestest. D’une maniere ken elif. femme. Cet historien rapporte le (ait tout autrement. Pourquoi tenir si forrernent 1 vos opinions ? Changez d’état, et sous penserez tout autrement. Ceux qui les ont lus en pansent tout autrement, et le disent, lorsqu’ils sont de bonne foi. s. f.-J. Reuss.) Les n.èmes pensées poussent quelquefois tout autrement dans un autre que dans leur auteur, (Page) nue flutrerectif. précédé de pas. Guère. C’est un homme qui n’est autrement riche. Il n’est pus autrement disposé e faire ce que vous lui demandes. Est-il malade ? Pas sulternestl, mais il est chagrin.

Ag : nu :

TANT. adv. Vieux net quoi manihait F, galament, ainsi, comme.

torertEmer.. adv. Vieux mot qui signiGait Egale.reent.

AUTREY. (é6 c’est., sut, bord ; rey, ruisseau ; au bord d’un ruisseau). Géoge. Village de France, départ. de la liaute-Sudor, chefne » de canton, arrond. de (iray, lents-fourucaus et forges ; 1,080 hab.

AUTRICE. s. f. (ét. lat., auctrix). Ce féminin se trouve dans plusieurs de nos vieux auteurs. Celle qui est la première cause de quelque chose. On l’a fort accusée du massacre de Paris ; ce sont lettres closes, pour quant à cela, car j’estois en nostre embarquement du Brouage, mais j’ay bien ouy dire qu’elle n’en fut la première autrice. (Brant.) L’assemblée autrice de tant de maux. (Pasq.) || Dans le Mercure de 1726, on trouve ce mot employé dans le sens de Femme qui a composé un ouvrage d’esprit. J’avais déjà lu plus d’une fois, mademoiselle, la lettre sur les bons mots, insérée dans le mois d’avril dernier, lorsque madame la marquise de la S** me dit que vous en êtes l’autrice.

AUTRICHE. (ét. c’est., est, orient ; royaume, parce quo c’est la partie la plus orientale de L’Allemagne ;, Géoge. L’empire d’Autriche s’étend aujourd’hui entre tes té’rt esde latitude, et entre les 43° et 24’de longitude orientale. Ses bornes sont au PL les royaumes de Bavière et de Sam, kt

Silésie. s. f. republique de Cracovie et les provinces polonoises de la Russie ; é l’E. la Podolie, la Bessarabie et la Moldavie ; ou S. la Servie et la Valachie, la Bosnie et Io Croatie dans l’empire ottoman ; en Italie, la mer Adriatique, les Date du pape, les duchés de Parme et do Modène ; à la Sardaigne, la Suisse et l’a Il s. stère, Toute l’etendue des rosassions autrichiennes eclève à 40,01d M’oui. carres. Il ae divise CM provinces allemandes liment sarcle de kt Confederation germanique, et en provinces etrangbes ri la Canfederation par leur situation hors de l’Alleamegnu. Urinante auctictaou est cour dans toits son etendue par de hautes ch.ainca de montagnes ; la Domine et la Loin. bordic Offrent seules quellurn plaines assez etenduca Les principales sudètes sont le Bannie.. la Drave, la tiare, le 1’6, l’Elbe, l’Oder, la Vistule, ln Dniestr.. etc. Le climat est on Fendrai assez doux, maia, dans to voisinage des "’Mes et des hautes montetraer,, ses h ; sent sont ruiler. le sol est productif et second, surtout en grains, vina et plantes •ailes. Les montagnes fournissent des métaux de tonie espèce ; de For, de l’argent, du calme, do ectain, du plomb, du mereute, de tel, du fer, du e Inubon de terre, do greilec, de l’antimoine, de Csrsenic, etc. la lississate tourne de la corna-

me, des j/sepell, gin cbescelloines ; la Moravie, der °pilles ; la

☞ ehème, dee grenats, Paumelle, Ace Myes ! attenta, du marbre, du petiote, de ratera, Ck. L’egricalture n’est pas aussi fletrisgank au duc pointait l’erre ; amui, malpre la lendits de spi•lques-unes den promni.s.s de Cette eOntree on soutire quedqm•fois dan, d’antres de la rsnin des ptls des clame rt des bestiaux ye

AUTR L’Autriebe posséde plus de 1100 soOreCa minaudes, dont 150 en Bohème. Celles de Made., de steplitz, Carlsbad, sont les plus célèbres. lus Lombuntie, la liasse•Auttiche et le Hongrie, [’redirai : nt des vins, de la soie. On y fabrique missi des liqueurs spiritueuses avec des fruits noyall.On tire des feints des bois de construction. Les manufactures n’ont imminence à prospérer que depuis le mort de Joseph IL 1.a leoherne fabrique des batistes et des sortes de lin ; lablomère, desdrapsurdinaires ; l’Autriebe, des cotonnades ; le Tyrol et la Lombardie, des soieries ; en Hongrie, en Styrie et dans les Provieeee voisines, on travaillé le fer et la fonte ; la fielleux. et Venise soutiennent toujours leur antienne réputation pour la fabrication des places et des objets détruerie. On estime beaucoup l’orfèvrerie et la carrosserie de Vienne, les ustensiles en cuivre de la Hongrie. Lantana :sise adminisuation de l’empire s’oppose à ce que le commerce parvienne au degré de grognenui auquel il. pourrait atteindre.

—Cet empare renferme une granite varieta de peuples : ouest étonné comment un petit nombre de Germaius, pentus en quelque sorte sur la surface de ce vaste territoire, SPIll parvenus assurer leur suprernasse sur les millions d’individus qui n’out de commun aven eux ni Porigine, ni les meurs, ni le Muette. L’Autliebe colorie 31,451,6M hab. Voici les principales races dont ils se mumposent : lev Allemands, ail nombre de 7,000,1100, babitent l’archidnche d’Autriche, la Styrie supérieure, la plue grande renie du Tyrol et les parties extérieures de la Bobévue ’• les Slaves, au nombre d’environ 15,000,000,0, sont répandus dans les montagnes de la Hongme, de lestangyleanie, et la Hoherne, la Moravie, m’Gullime, tue. ; les Italiens et les Valachiens, au nombre clé 7,000,030 ; Ms premiers habitent les pays vnisinn des Alpes du suit et leacbms dela Mer Adriatique, lesseconds le sud est de la Hnn.esiv et les frontières de la Transylvanie ; les Magyars, au nombre de 5,009,000, habitent toute la Hongrie et Pinterieur de la Transylvanie ; 500,000 juifs mirslent dans tout le royaume, excepte dans l’h u. triche supérieure, le Tyrol, la Carinthie et la Carniole, oo il leur est défendu de pénétrer, enfin il y a un petit nombre de Holuimiens, dont on ignore l’origine. Le ealbolicisme domine dans tout l’empire ; c’est la religion de l’Ems et celle de la famille impériale. On compte environ 25.000,000 de catholiques. les Orem et les Arméniens, unis et romp unis, forment iule jaspulutifin de 5,000,000 d’homes. Ils resident prin- C i t a l e r n e n t d a l a H o n g r i e e t l a B u c h a v m e. L’église protestante a : 1,000,000 de sectateurs, babttent la Hongrie et la Transylvanie, et ils jouissent dans ces pays des mêmes droits civils que les catholiques. Dans les autres états héreditaires, l’église catholique domine exclusivement. Les Arméniens et les Grecs sont les seuls hors du culte romain qui puissent professer un Aube public. Les socinicns, ou uni au nombre de eu,011,1, ont leur consistoire en Transylvanie. On trouve aussi en Autriche un bon nombre de Tares et d’Albatuais. Quoique le catholicisme soit la religion dominante dans toute l’Itittristiti, et qu’il soit fortement enraciné dans le cœur de la nation, les autres religions sont traitées avec beaucoup de modération, et aucune ne pleut se plaindre d’étre persecutée Lantooarchie entiére riuderm• onze archevéchés, un patrimelle restelant à Venise, nu noucedu parce Vieupe, et trois cents monastères. Les écoles sont en général Connues au Vienne, 11%1 ; 7 pé e. ilL.nistriaerieuhee, loari tienT : fLtainnbiznse, it tes3 5. loue, 0 Iman, (Irma et inspruck, Lee provinces stases forment deux prouves rliStillels, don l’un au nord de l’empire et l’autre au midi du Danube. les premières comprennent la Bohème, la Moravie, la Silenie, la Gallitie et le nord-ouest de la Hongrie. Il s’y parle t’ois ou tendre dialectes de la langue stave• le Sol de sa seulléme eut Men n’oins productif que celui de la Cali : Mc et de la bioravio ; mais l’industrie y fait de rapides progrès, et lx Robeson peut ’maser pour une des contrées les plus florissantes de l’entasse La noblesse y est geai :salement célebret ; elle a’oceur• octivement h ana. : jurer la condition des ClESSree V111rIC9. La GrOlicie Cet ltt seule C01stree qui n’ait fait aucun montes. Quoique les provinces slaves golem on possession de ressources incalculables, elles ine font toc de bien lents proenis dans la civilisation, ce qui s’explique par la politique gin goeyer, miment peu dispose à favoriser Ica tentattros d’amélioration sociale. Léa prrieiriC•l slaves du nord de l’empire, composées de Pt Gevalthie, de la Carniole, de lTsiete, de la IMItustie, la Croatie, de la Sisronle et des confins militaires, diffèrent plus ou moins cuire elles, par leur einem de civilisantes, mais lettre vieux et lettre interdit se confondent. Les Mag3. rua on llonerms sont invariablement attaches u leurs anciennes instientiong ; tout imparradesqu’elks sont, elles ont cependant contribue a leur non. server escs droits perchais. les Italiens ne sont pas traites arec plus de menagement quo Ira Slaves ; cent-rident on Mar a fait récemment quelques. concessions, afin de se concilier lia habitante den villes.

—Le OtirestrertletIS est.l’Agen, excepte demi la theme et Ill TranrylTanie, on si net tundifle par une représentmlnn nationeln. Les Etats eln tons lex autre pays des l’empire Ont ln &Mt dr ingartir l’impat et de faire des ri : musicien-... l’au souverain. 10 namarchic est lienstimirt lvar priningoniture nihme pour les femmes. A a mur dr. l’administration sr troue lr ernisetl date i.tt ef er aussi•rente, pintade par Mi 301 n l’empereur. Les Etats héréditaires autrichiens font partie de la Confederation germanique, où ils ont quatre votes à lu chète. Pour l’•dennistration, l’Autriche est divisée eu quinze lient.

emi : menu m’mi, do chemin subdivisé en cercles, provinces, comices, délégations, districts, etc., selon le pays auquel elle al’Par- — Le berceau de set empire fut le pays au-dessus de l’Ems. La Germanie, après la chuta de l’empire romain, au Ye• siècle et au vie’avait été successivement hahitec par des Boïens,, les Vandales, des Herules, des Rugiens, des Goths, des Huns, des Lombards et des Avares. Ces derniers, en 568, s’établirent dattiers.ment en dessous de l’Ems. Ils nunchgrent es fleuve en 7SS, et envenima les connes francoviens situés dans la Dorien,. Mais Charlemagne les repoussa en 711. jusqu’eu Rash, et retrait le pays compris mure l’Ems et le cou. fluent du Raab et du Danube e sous le nom d’Avarie ou Mareime ori•usatn Charlemagne en conne le gouvernement à un margrave. De cette, poque (Ikal s 1156, la sauverai nete du margravnad’Autnelic demeura héreditnire dans la famille des comtes de Balle berg. En 1166, M margraviat fut érigé eu duch•. Après avoir pusse eu diverses mains, selon k plaisir des empereurs d’.•lkmague, véritable ; souverains de ce mils, le duclue d’Autriche fut laide s l’empereur Itodolpbe de lstinsbottig. en /272. par le due Ounces, qui axait refuse de reco•nnaire ce prince. Vienne devint alors la resitteere de ce souveraiu, rt le nom d’Autriche fin conservé par Rodolphe comme nom de famille pour ses lits et ses descendants. Sous la styntetio de Hapsliourg, de 1292 à 1526, grandit rt s’accrut la puisement de l’Antrielie, Elle joignit SU duché les Pays aP- Feira plus tard le cercle d’Autriche, et obtint eu 11e8 la couronne élective de l’empire d’Allemagne. En 1513, le duché d’Autriche reçut le nom d’arehiduche En 1477, le duc Maximilien acquit les Pays-Bas, un épousant Messe, Cille de Charles le Téméraire, et retrait à l’Autrbelm le Tyrol et pluseurs partira de la Ils. Plaisipge, son fils, devint souverain d’Espagne par son mariage are• Jeanne, heti. soie de ce royaume. Charles-Quint, fuis de Plaisippe, roi dlespzigne et empereur d’Allemagne, céda toue ses Etats bereditairce d’Ailemagne à son frère Ferdinand Perdit : and retrait à ses Etat, la Momie, la Bohème, la Silésie, la Lusace rt la Lorraine. En 152R Ferdinand reçut te titre de roi, et eu 111G, après l’abdication de son (rem Charles-Quint. il Mt nommé empereur d’Allemagne, et cette dignité demeura en sa famille jusutien 1740. A cette époque (tee), l’Autriche avent perdu

'.hisses, qui lui apfuttenrot ’depuis le7, et échangé la Lorraine pour le Toscane. La ligne, masculine de la maison d’Ilapshoure &clam « cime par la mort de CitarleaV1, Irlaric- Thcrose, fille de ce Saille…, monta sur le crans avec sou époux. qui prit le nom de François 1" el devint empereur d’Allemagne après Cher. Ms, en 1715, Cette maison a gouverne l’Autriche jusqu’à nos jours. En 1777 et 1705 lors des premier et du deuxième puisage de la Pologne, l’Aittneste avait gagne la Garrière et la Lodomélie. Franço :s Il, eltt empereur en 1793, se liens contre la France, et en 1805, retrait ses

HUIS

SOUS le nom d’empire d’AHtrich.,, et prit lui-rame le Pire d’emperrur bnréditaina. Allié être la Russie et l’Angleterre, il encres en ’rein à resieter it Nepolcon, et perdit une partie de sri Etats. Le 0 arrdt 1e00, il renonça à ln tienne d’empereur d’Alternagne, que sa famille mugeslun depuis cinq sièclra, et prit le nom de François 1", entremit, d’Autriche. Napoléon épousa, en 1510. au fille Marie-Loutse. Malgré cette union, François fut toujours ligne meure son cendre, et fin de ses Mye t•osents ennemis. En 181.1, l’Autriche tenus dons ses possessions, et obtint, Fa : le nouteets partage des Eints, le royaume lump barda-vénitien en Italie.

somme (Archiduché d’), on Antriehe proprement dite. (Yerait ln Pannonie et la Norique dm nnelens. Cette province de l’empire d’Autriche est bornée par la linhèm ; M Moravie, ln Ifonerie, le Tyrol, lu Styrie, et lei BaseM.lia superficie est kilomètres mures, et so population de 2,071,000 hein Po pays, berceau de la monarebie Ainsi. chienne, nt montueux, bien atroge, et eu ge. ruerai peu fertile, Les montagnes renferment etc Kaolin-uses minas el dr benne cetrriérts — Maisond’Autriche. Iton. Cette famille occupe de etidne imperial de 1272 1312 pal i llarebourg et A lbert P., fait pien h la cosmos de Bavière la à celle il. Liu cm• bourg de lege à IlM ; remonte sur le trône ri lias, qùelle occupejmetham sol, où elle s’e teint dans la ligne mine. Marie-1 herèxe, fu lt ne Charles VI, y fait monter von mieux, Frees• çois dr Lorraine. ehrt de la n’oison d’Autriche. Lorraine, qui régne encore anjenorl s ni. en Esitsgne. route maman n replu de lass A 1700 per Philippe

☞. mari dr Jeanne la Folle, fille dr Ferdinand le Catholique et d’Isabelle de Caatille, par Prètiprt, un’hKrsex-iptint, pagne, Item le nom dr. Charles l" par lippe I roort en % 1, Philippe 111, Philippe IV, el Cliar- ses 11 —f luent’de la miéreistnit Cette atterre• ronnemeco en 1711, nuis en soie. la ligne masculine de le d’Aussi•lin a sont xtemle >or le mn" dr Charles V) en 1740, Mare-Thin sen, Aile du en panne I,

☞ L’IPL • ch’Lorra me, planta brui Crane.st1-.I.0,41 ’le IlO’le," dit.