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XXI.

Olivier, Théodore (1793—1853), officier d’artillerie français, mathématicien; passa, entre 1820 et 1830, plusieurs années en Suède comme professeur à l’Académie militaire de Marieberg près de Stockholm et fit à cette époque la connaissance de Berzelius. La lettre de celui-ci à Olivier que nous reproduisons ici a l’intérét particulier d’être une des dernières qu’il écrivit avant de mourir.




I. Olivier à Berzelius.
Paris, 21 février 1847.

Monsieur et ami très honoré!

J’ai l’honneur de vous adresser, par les soins de M. Georges Blum185, le cinquième ouvrage que je viens de publier sur la géométrie descriptive. Il a pour titre: Applications de la géométrie descriptive aux ombres, à la perspective, à la gnomonique et aux engrenages.

Vous avez dû recevoir, il y à peu de temps, une brochure ayant pour titre: Cause du déraillement des wagons dans les courbes des chemins de fer. Je vous serais infiniment obligé de présenter, avec mes hommages respectueux, ces divers ouvrages à l’Académie royale des Sciences dont vous êtes depuis longtemps, et pour sa gloire, le secrétaire perpétuel.

La partie officielle étant terminée comme au Moniteur,