Page:Bertrand - La Femme qui était retournée en Afrique, 1920.djvu/75

Cette page a été validée par deux contributeurs.




Quand l’heure de la vigile fut venue, ils se rendirent à la basilique, en compagnie de leurs hôtes.

L’air nocturne était tiède comme la veille, le ciel clair, éblouissant de constellations. Ils allaient à pied, mêlés à la foule des fidèles