Page:Bertrand - Gaspard de la nuit, éd. Asselineau, 1868.djvu/177

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

avec d’immenses craquements, et de ces profondes solitudes que remuait le vent sortaient des voix confusément menaçantes, qui tantôt s’approchaient, tantôt s’éloignaient, comme si une troupe de voleurs rôdait aux environs.