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par l’imprimeur ; cette impression se nomme épreuve.
Dans presque toutes les gravures en cuivre faites au trait, on se sert de l’eau-forte et du burin ; l’acide nitreux la commence, et le burin la finit. Le paysage, l’architecture et les machines tirent un grand secours de la gravure à l’eau-forte ; elle ne peut pas s’appliquer de même aux portraits et aux sujets d’histoire.
Le châssis qui est suspendu devant la fenêtre du graveur est destiné à tempérer l’éclat de la lumière, qui, si elle était trop vive, nuirait beaucoup à son travail ; ce