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modéré, puis on la couvre d’une couche de vernis, que l’on noircit ensuite à la fumée d’une bougie.

Lorsque la planche est ainsi disposée et qu’on l’a laissée refroidir, l’opération dont on doit s’occuper est de transporter le dessin sur le cuivre. Pour cet effet on le calque sur du papier huilé avec une plume et de l’encre dans laquelle on a mis du fiel de bœuf ; on frotte ensuite une autre feuille de papier avec du blanc d’Espagne ou de céruse, et on l’étend sur le cuivre vernis, en ayant soin que le côté blanc se trouve sur la