Page:Bertin - École des arts et métiers mise à la portée de la jeunesse, tome 2, 1813.pdf/64

Cette page a été validée par deux contributeurs.

essuyer la planche sans ôter l’encre de la gravure. Lorsque la planche a reçu ces préparations, on la place sur la table de la presse ; on étend sur la planche la feuille de papier que l’on a eu soin d’humecter auparavant ; on appuie sur les bras des leviers, et par ce moyen la planche et tout ce qu’elle supporte passe entre les cylindres ; elle est, comme nous l’avons dit, couverte d’une peau de cygne et d’un morceau de drap très-large. Les leviers, en pressant également et avec beaucoup de force, contraignent le papier d’entrer