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souliers ou des bottes avec des pointes qui excédaient la longueur de deux pouces, et il fut défendu aux cordonniers, sous les peines les plus graves, d’en faire qui ne fussent pas conformes aux dispositions de l’acte dont on vient de parler.

Les cordonniers emploient beaucoup de maroquin, qui est une peau de chèvre préparée avec de la noix de gale ou du sumac, et auquel on donne la couleur que l’on juge à propos. On se sert aussi de maroquin pour couvrir des malles et des nécessaires, pour relier des li-