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environnans ; il achète alors une peau ou une demi-peau du tanneur, et en fait des semelles ou des empeignes dont il se sert lui-même pour son état, ou qu’il vend à ceux que la faiblesse de leurs moyens ne permet pas de s’approvisionner chez les marchands en gros.

Pour retirer des bénéfices de cette profession il faut posséder des connaissances sur les qualités du cuir, et avoir du discernement pour le couper, de manière qu’il offre le moins de perte possible.

La vignette donne la repré-