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Aussi n’y a-t-il pas de métier plus lucratif que celui de faire des perruques, après celui de couper les cheveux à la Titus ? Les adeptes dans cet art jouissent d’une telle renommée que le plus célèbre d’entr’eux se contente de mettre au-dessus de sa porte son nom sans autre indication, et que si un mandarin était tenté de lui écrire, comme autrefois à Boerhaave, il lui suffirait de mettre sur l’adresse à l’illustre Armand, en Europe, et que la lettre parviendrait à son adresse.

La mode de porter perruque et de faux cheveux n’est pas par-