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chauffe de nouveau, ou que l’on fait recuire pour corriger la rudesse que le métal a contractée sous le marteau et au laminoir.

Pour aplatir ces quartiers en feuilles très-fines il est nécessaire d’interposer entre elles et le marteau un corps lisse qui amortit le coup et les préserve de la violence de son action ; comme aussi de placer entre chaque quartier quelque corps intermédiaire qui les empêche de se joindre ou de se réunir les uns aux autres, et leur permet de s’étendre. Les batteurs d’or emploient pour cet usage trois