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LXV
PARALLÈLE ENTRE LES TROIS SIGNALEMENTS

II. — Localisation du signe.
e. f. g.
Proposition locative Énumération des parties du corps servant de point de repère, en procédant de haut en bas. Côtés et faces (quand il s’agit des membres).

III

CONSIDÉRATIONS FINALES ET CONCLUSIONS

1.

DU RÔLE COMPARÉ DES TROIS SORTES DE SIGNALEMENT

Le collationnement des marques particulières, quand le relevé primitif en a été fait conformément aux principes de description et de localisation rigoureuses que nous venons d’indiquer dans le chapitre précédent, entraîne avec lui une certitude d’identité bien supérieure à celle qui résulterait de la seule concordance des observations anthropométriques.

La notation des signes individuels serait même appelée à remplacer complètement la mensuration, n’étaient les difficultés inextricables que présenterait une classification basée sur les particularités. Quel ordre, quelle hiérarchie, accorder à chacune d’entre elles, étant donné que leur nombre va toujours en augmentant de la naissance à la mort, que certains sujets en sont presque complètement dépourvus, tandis que d’autres en offrent une telle multitude qu’il est presque impossible de les relever toutes ?

Ainsi un signalement par le moyen des marques particulières viendra très utilement en aide à un signalement par longueurs osseuses, mais sans jamais pouvoir le remplacer. L’anthropométrie, qui est un mécanisme d’élimination, démontre avant tout la non-identité, tandis que l’identité directe est affirmée par les marques particulières qui, seules, peuvent donner la certitude judiciaire.

Nous sommes maintenant à même de jeter un coup d’œil d’ensemble sur le rôle qui incombe dans l’organisme de répression sociale au trois sortes de signalement.

Un malfaiteur en état de liberté, se rend coupable d’un crime.