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LII
INTRODUCTION

qui exprime le mode d’adhérence du lobule à la joue en ne basant que le degré d’accentuation ou de prolongation du sillon qui, deux fois sur trois, le sépare de la joue (Fig. 14), et la série : traversé, intermédiaire (ou uni), et en éminence (Fig. 15), qui vise la forme soit creuse soit mamelonnée de la surface antéro-externe du lobule (Fig. 15).

Fig. 14. — Lobe à adhérence fondue, intermédiaire et séparée.
Fig. 14. — Lobe à adhérence fondue, intermédiaire et séparée.

Fig. 14. — Lobe à adhérence fondue, intermédiaire et séparée.

Fig. 15. — Lobe à modelé traversé, intermédiaire (ou uni) et en éminence.
Fig. 15. — Lobe à modelé traversé, intermédiaire (ou uni) et en éminence.

Fig. 15. — Lobe à modelé traversé, intermédiaire (ou uni) et en éminence.

Fig. 16. — Antitragus versé (en dehors), à renversement intermédiaire et droit.
Fig. 16. — Antitragus versé (en dehors), à renversement intermédiaire et droit.

Fig. 16. — Antitragus versé (en dehors), à renversement intermédiaire et droit.

Fig. 17. — Antitragus à inclinaison horizontale, intermédiaire et oblique.
Fig. 17. — Antitragus à inclinaison horizontale, intermédiaire et oblique.

Fig. 17. — Antitragus à inclinaison horizontale, intermédiaire et oblique.

De même l’antitragus sera dit : versé, intermédiaire ou droit, selon le degré de renversement en dehors de cette petite arête cartilagineuse (Fig. 16).

Mais déjà le point de vue précédent se rattache beaucoup moins au tracé, proprement dit, qu’à la direction ou inclinaison de la ligne. Cette dernière sera qualifiée d’après une première série d’horizontale, intermédiaire,