taille extrêmement grande ou géante (de 1 m. 90 à ω). Voici la répartition en neuf catégories d’un groupe de 1.000 sujets adultes :
LIMITES | NOMBRE DES CAS | ||||
TAILLES | naine et extrêmement petite | α à | 1m40 | 0 | ,05 |
très petite | 1 | 47 ± 635 | ,95 | ||
petite proprement dite | 1 | 56 ± 3148 | |||
petite, limite moyenne | 1 | 61 ± 2198 | |||
Moyenne | 1 | 650 ± 2236 | |||
grande, limite moyenne | 1 | 69 ± 2198 | |||
grande proprement dite | 1 | 74 ± 3148 | |||
très grande | 1 | 83 ± 635 | ,95 | ||
extrêmement grande et géante | 1 | 90 à ω0 | ,05 | ||
Total | 1.000 |
On reconnaît qu’une sériation de ce genre est arrivée à un nombre suffisant de subdivisions lorsque la confusion entre deux qualificatifs consécutifs dans la série peut se produire facilement et sans inconvénients. On est assuré, au contraire, que les cas intermédiaires n’ont pas été trop multipliés, autrement dit, qu’il n’y en a que le nombre nécessaire, en constatant qu’il ne serait guère possible de chevaucher au-dessus d’une catégorie et de confondre entre elles deux subdivisions séparées par un ou plusieurs intermédiaires.
En effet, plus les termes de la gradation seront nombreux, plus la description sera précise. Mais cet accroissement cesserait d’être utile pour devenir encombrant si l’on arrivait à différencier par des mots ce qu’il serait impossible de distinguer en pratique.
Le reproche que nous faisions à la répartition descriptive tripartite de faire perdre au mot moyen toute espèce de valeur signalétique se trouve ainsi écarté. Ce qui est moyen proprement dit, pourra être qualifié soit de petit limite moyen, soit de grand limite moyen, mais les quatre autres catégories se trouveront toujours éliminées.
Que l’on se rappelle ce que nous avons dit précédemment sur