Page:Bertheroy - Les Vierges de Syracuse.djvu/99

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Chapitre ix


orcas et Fanie étaient sortis ce soir-là comme de coutume, pour respirer un air plus pur après la chaleur du jour. Mais ils ne se mêlaient pas aux groupes nombreux répandus dans les campagnes. Ils allaient seulement à la pointe extrême de l’île, en face du cap Plemmyrium, d’où ils découvraient l’étendue immense de la mer et de la cité. C’était le lieu préféré de Dorcas, et Fanie n’avait pas d’autre volonté que celle de son cher époux ; pourvu qu’elle fût suspendue à son épaule, qu’elle sentît son pas