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Chapitre v


anie, la jeune épouse de Dorcas, se tenait sur le seuil de la porte ; la maison qu’ils habitaient ensemble attenait aux jardins du palais, et, appuyée aux contreforts des rochers, dominait la langue de terre où s’étendait Ortygie. Cependant Fanie n’apercevait rien, ni du côté de la campagne, ni de celui de la ville, et l’heure était passée depuis longtemps à laquelle Dorcas rentrait d’habitude.

Et Fanie se désolait. Dorcas était son héros, son