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LES VIERGES DE SYRACUSE

Ainsi elle continuait sa litanie amoureuse, la petite épouse au bras du guerrier vaincu. Lui ne répondait pas ; il regardait le Pégase enflammé planer encore dans l’espace. Mais ses ailes ne recouvraient plus qu’une cité condamnée à la servitude. Et sur le rivage, devant l’arc assombri de la mer, les nymphes sicélides pleuraient…