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miers, vignerons, maraîchers, grands et petits propriétaires voisins. C’est de l’or en barre que j’ai là ; enfin, tranchons le mot, c’est du guano comme en déposent sur les îles solitaires de l’océan Pacifique des myriades d’oiseaux.
— Ah ! oui, répartit Hugo avec son flegme olympien, vous dites bien, mon cher Balzac, c’est du guano, mais du guano moins les oiseaux. »
Léon Gozlan.
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« Sollicité par l’éditeur Kugelmann qui préparait, avec l’aide de Louis Lurine, son beau livre les Rues de Paris, Balzac proposa de