Page:Berrichon - Jean-Arthur Rimbaud, 1912.djvu/130

Cette page a été validée par deux contributeurs.


DEUXIÈME PARTIE


Suis-je trompé ? La charité serait-elle sœur de la mort pour moi ?

Sur la mer, que j’aimais comme si elle eût dû me laver d’une souillure, je voyais se lever la croix consolatrice. J’avais été damné par l’arc-en-ciel.

A. R.