,< 0 ,.0 1" ~i.8~ ?’ ’Ë~T.UDES .li. "r-c,’ ~ui !peFnïëtÏent la ~pturalite.des femmes~ sont~dans, ’ ?~ j’f~’< r x .â2.~< 1 ;` f ~L < o. .~o u -> r ~("’ .,).J ’r~ ~h ’que ~ëêux ?qui’ < n’on~ cherché" dans~ l’union ’i* ’"y- "< des~eux~exesj ;qu’~jés’~biupfés~des’s~ su’ëK~coanu lës~is.dê Ia.,natur.e !Hs n’ont’cueilli .c’t’<’tt’ ~’f. quelles Qëùrs. dé’ IaL"vie,"sà~’eB avoip côûté~Iés ~< truits/ Le beau sexe, dtsent nos .sens, dejpta)Stf, : us .<. t’< y 0. -iL"t. ne connaissent pas. ley : temmcs~squs. d’autre~npm ; Mais.H est~seulemeht-tjeau p’bu~ceux qui~’ont que j r" .iH. l" des yëux./H est encore, pour ceux~qmpnt ;un coeur le *sexé g~hefatëHr qui pofte l’homme neuf~ - :) t, l ’) mois’~ dans" ses Sancs~au péril de. sa vie, et. le-sexe ’-r. t. ?. npurriciën :qui l’à !IaTte 6t ,1e" sdighé dans l’en&ncë. t. .{, 1- ¡." ..t. t. Il’ ëst~’Ie ~se~e~ pieux~qùi$Ie"’poj’te ;aux ~autels tout petit,et~urlui".inspire,l’amour ;(l’ulie religion,.que. la cruelle politique des hommes, lui* rendrait ’sou- ,t- vent odieuse. Il’ ~est le~sexe pàGihque ’qui. ne verse’. pôint..lé’sahgjde sës~emblahIes~Jë~sexë~GQnspIâ~teur qù~ prend ,soin des .malades’,)et ,qui les touché sans les blesser. L’homme’ a : ?béau’vanter sa puis- .r. t~ t’ sàncé~ ët~sa’ .force si ses ’mains robustes ; manientÏë fer., celles -ctë" ;Ia Ïemmë, plus~ adroites et* plus utiles, ’savent ;nler le lin’ et les toisons ’des.br’ebis.~ L’un ~combat les noirs ’chasrins~par les.maximes
dé-là philosophie ;’ l’autre ; les éloigne’par’l’insou- ciâncë et -les ïeux.~L’uh-résiste aux maux ’du).dë- hors~pâr la" forcé de sa’ raison l’autre, plus ’heureuse, leur échappe par la mobilité de la sienne. Si le premier met quelquelbis sa gloiré.à affronter
