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touchée, & le dédommager s’il ſe pouvoit par ſa reconnoiſſance des ſentimens qu’elle n’avoit pas pris pour lui ; mais elle ne le voyoit plus, parce qu’il prenoit ſoin de l’éviter. Il ſçavoit cependant que ſon mariage avec Sanſac, n’eſtoit pas preſt à s’achever ; mais ſi cette pensée adouciſſoit ſa douleur, elle ne la lui ôtoit pas.

Mademoiſelle de Sanſac revint à Paris, elle apprit avec plaiſir l’action