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pour l’obtenir, il n’y trouveroit plus d’obſtacles. Ce Marquis eſtoit trop amoureux pour ſonger aux refus qu’il avoit déja deux fois eſſuyés. L’avance que Madame de Roye lui faiſoit en eſtoit la réparation, mais il vouloit ſçavoir les ſentimens de ſa fille. Il alla chez cette Comteſſe ; il vit Mademoiſelle de Roye, à qui la joye redonnoit la ſanté, que le chagrin lui avoit ôtée. Il ne lui fut pas dificile de con-