Page:Bernard - Godfernaux - Triplepatte (1906).djvu/133

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
120
TRIPLEPATTE

tant. Il faut qu’il y en ait long !… (Cherchant des yeux le vicomte.) Mais où est-il donc ?

BOUCHEROT, ramenant le vicomte, qui est toujours en peignoir de bain.

Le voici !

MADAME HERBELIER, au vicomte.

Enfin vous voilà, Robert !

LE VICOMTE, à part.

Ça y est !

MADAME HERBELIER, montrant Boucherot.

Présentez-moi donc ce monsieur que je ne connais pas.

LE VICOMTE.

Vous voulez que je vous présenta Boucherot ?

MADAME HERBELIER.

J’en serai ravie.

LE VICOMTE, présentant Boucherot.

M. Boucherot, un ami, à qui j’ai fait faire des placements d’argent assez rémunérateurs.

Madame Herbelier très aimable tend la main à Boucherot.
MADAME HERBELIER, au vicomte.

Robert, vous allez être tout à fait content ! Vous allez faire le plus beau des voyages !

LE VICOMTE, sceptique.

Oh ! l’Italie !

MADAME HERBELIER.

…Et la Norvège !