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TRIPLEPATTE
LE VICOMTE.
Ça je le comprends plutôt, et je vois mieux vos raisons. Allez, continuez à être content… Bonsoir !
Il se dirige lentement du côté de son lit.
LE TAILLEUR.
Au revoir, monsieur le vicomte.
Baude-Boby entre par le fond, croisant le tailleur qui sort. Salue.
BAUDE-BOBY, au vicomte.
Bonjour, mon vieux… Qu’est-ce que tu regardes…
LE VICOMTE, debout près de son lit.
Je regarde mon lit où j’ai été si bien tout seul ! Mon lit… que je me reproche amèrement de n’avoir pas apprécié. Je pouvais m’y coucher en tous les sens ! en large ! en travers ! Désormais, même dans mon lit, je ne serai plus chez moi… Je serai avec une personne étrangère.
BAUDE-BOBY.
Tu pourras faire lit à part.
LE VICOMTE.
Ce n’est pas facile ! Il faudra me préoccuper de ne pas désobliger cette autre personne.
BAUDE-BOBY.
Plains-toi donc ! Elle est très gentille, cette jeune fille.
LE VICOMTE.
Oui 1 C’est ce qu’on appelle une gentille jeune fille ! Mais les entretiens que nous avons eus en-