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plaiſirs que l’on goûte à la Cour pour venir faire la mienne. Voyez ce que je fais ſans eſtre aimé, & jugez de ce que je ferois ſi j’eſtois un peu moins mal-heureux.
Aprés luy avoir ſait tenir cette Lettre, je ſus long-temps ſans en avoir la réponſe & ſans rencontrer la jeune Iris que je brûlois de revoir ; dans mon impatience, je luy écrivis encore celle-cy.
À
LA JEUNE IRIS.
Lettre treiziéme.
Depuis ma derniere écrite, je
vous ay cherchée inutilement :
Êtes-vous inviſible pour
muoy ? Et que vous ay-je fait,
pour me priver du déplaiſir de