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des camarades du Parnasse, les directeurs de journaux sérieux et la majeure partie de la critique militante. Le seul qui me fut indulgent fut Victor Hugo qui, après s’être fait lire Enguerrande par Mme Drouet, m’envoya le lendemain son Théâtre en Liberté qui venait de paraître, et où tout ce que j’avais essayé était réalisé victorieusement et inimitablement depuis quarante ans.