Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/352

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cutifs, devant le même plat de cervelles en beignets.

— Théo a besoin de phosphore, disait-elle, le phosphore donne des idées. C’est dans l’École de Salerne.

Et, sans jamais se plaindre, le malade avalait les éternelles cervelles aux beignets.

— Elle a raison, faisait-il, c’est dans l’École de Salerne.