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ger, paraissent des ouvrages sur les poétesses françaises, il nous a semblé équitable de nous occuper de leurs « consœurs » étrangères.
Le hasard des circonstances et une connaissance plus approfondie de la langue nous ont seuls guidée d’abord vers l’Allemagne ; mais nous espérons bien, si la vie nous le permet, continuer ce tour d’Europe, heureuse si, une fois de plus, la lyre d’Orphée pouvait contribuer à la pacification des esprits et des cœurs et si la Poésie en pouvait être mieux aimée.