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sollicitait en rien le goût d’ornementation qu’il porte partout où il s’arrête.

Aussi l’aspect en était-il monotone.

L’originalité s’était réfugiée dans la première division, et la coquetterie dans la troisième.

En effet, cette heureuse troisième division, située à l’extrême gauche du camp, au milieu de pins sylvestres et dans le voisinage de petits bois qu’on trouve touffus là-bas, pouvait tout à son aise y développer son penchant pour l’arrangement et les ombrages.

On n’y voyait, en effet, que jardinets, parterres, tentes des chefs abritées avec adresse, et naïfs essais d’horticulture qui n’ont jamais le temps d’aboutir.

La première division cultivait les arts, ébauchait des sculptures, élevait à l’entrée de ses rues des Forts de terre glaise, des France et des Victoire en craie, des bustes de l’Empereur plus sincères que réussis, des Prince Impérial équestre ou pédestre.

Nous y vîmes même un jour un buste de l’Impératrice, traité avec une hardiesse de conception et une richesse de formes qui défient toute description.