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D’UN POETE. xvii


aux Faunes, aux Sylvains, aux Zéphirs, à l’Aurore, au siége de Troie, au Scamandre, aux Grecs et aux Romains… toutes choses dont je suis toujours obligé de parler de temps en temps dans mes poésies. Détournez-moi enfin des faux dieux qui me détournent souvent de vous. Je ne crois qu’à vous seul, ô mon Dieu ! quand je ne rêve pas, et je compte fortement sur l’immortalité, non pas en ma qualité de poète, mais en ma qualité de chrétien.