dans son attitude, et dans les gants noirs qu’il avait mis, quelque chose d’inusité qui agaça dès l’abord M. Talmant. Il offrit en silence un fauteuil à son beau-père.
« Il faut bien que je vienne vous voir, Gervais, puisque vous ne venez plus chez nous.
— Je suis fort occupé, monsieur, vous le savez.
— Sans doute, sans doute ; mais il y a occupations et occupations. Quand on est bon mari et bon père, on s’occupe de ses affaires et puis de son intérieur. On ne peut pas toujours faire le jeune homme… on a des devoirs, et… quand on possède une femme charmante, un bijou d’enfant, eh bien, monsieur, c’est tout ce qu’il faut à un honnête homme et…
— Où voulez-vous en venir ? demanda M. Talmant, dont les sourcils se froncèrent.
— Vous le savez bien, monsieur. Ma fille a eu connaissance de votre conduite, et elle