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6. Dans un repas ; la lecture du manuscrit est malheureusement douteuse (or feorme = on feorme ?)

XXXIV

1. Heyne, dans son édition de Beowulf, donne des preuves à l’appui de cette traduction qui est basée sur la substitution de feond (ennemi) au freond (ami) du texte, substitution proposée par Leo.

2. D’attendre un autre héritier, c’est-à-dire de voir naître un autre enfant.

XXXV

1. Les Gifthas du poëme sont les Gépides, cités également dans le Scopes widsith. (v. 60).

2. C’est le collier dont Wealhtheow a fait présent à Beowulf et que le héros remet ensuite à Hygd ; il est orné de pendants en or qui tombent sur la poitrine, d’où son nom : breost-weor-thung. — Heyne.

3. Il était placé, traduction qui n’est valable qu’autant qu’on admet le changement de stodan (ms) en stod on apporté au texte par Grundtvig.

XXXVI

1. La main de Beowulf était trop forte pour manier une épée ; sa force rendait la lame inutile dans les combats.

XXXVII

1. Rapporte, ags. grefrægn (j’ai entendu dire) addit. de Kemble.

XXXVIII

1. Traduction incertaine basée sur le sens donné ici au mot ofer-higian.

2. La périphrase est ici d’une hardiesse inimaginable : « jusqu’à ce que la pointe du mot ait percé le trésor de la poitrine. »