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YETTE SOUS LE JOUG.

lettres qui inquiétèrent les Darcey, mais où Yette ne voulut voir qu’une chose : que la santé de sa mère nécessitait le climat de France, et que, pour consulter de grands médecins, elle viendrait à Paris aussitôt qu’il lui serait possible de supporter le voyage.

« Maman, ma chère maman à Paris ! criait Yette en frappant dans ses mains. Oh ! je suis trop heureuse. »

Et elle se promit de savoir par cœur une sonate pour ce moment-là.