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point de blâmer la violence des foules, et en sommant les autorités de ne point permettre que le peuple leur enlevât le soin de châtier la nouvelle conspiration de l’idolâtrie. Et, du matin au soir, dans l’église Saint-Pierre, les ouvriers travaillaient à installer les longues rangées des autels nouveaux, clouant sur les murs des diptyques de pierre où étaient gravés les noms de ceux qui avaient, déjà, accompli leurs vœux et gagné leur couronne.

C’étaient les premiers mots de la réponse de Dieu à la provocation du monde.

Aux approches de Noël, il fut annoncé que le souverain pontife chanterait la messe lui-même, le dernier jour de l’année, devant l’autel pontifical de Saint-Pierre, à l’intention de l’ordre du Christ ; et déjà les préparatifs avaient commencé, pour cette cérémonie.

Celle-ci devait être une sorte d’inauguration publique de la nouvelle entreprise ; et l’on savait qu’une convocation spéciale avait été adressée à tous les membres du Sacré Collège, dans le monde entier, exigeant leur présence à Rome pour le 31 décembre, sauf empêchement par maladie. Le pape, évidemment, avait dessein de faire comprendre au monde que la guerre était déclarée.

Et l’on vit à Rome, cette année-là, une fête de Noël tout à fait extraordinaire.

Percy avait reçu l’ordre de servir l’une des