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— Assurément !

— Or donc, monsieur Brand, la société que je représente est entièrement composée d’hommes qui ont été, autrefois, prêtres catholiques. Notre société est au nombre d’environ deux cents, à Londres même. — Je vais, d’ailleurs, si vous me le permettez, vous laisser la brochure qui définit notre objet et notre règle. — Et il nous a semblé que c’était là un sujet sur lequel notre expérience passée pourrait être de quelque service au gouvernement. Les cérémonies catholiques, comme vous le savez, sont très compliquées, et plusieurs d’entre nous les ont, jadis, étudiées très à fond. Nous avions coutume de dire que, dans le clergé, les maîtres de cérémonie, comme on l’a dit des poètes, ne se faisaient point, mais naissaient pour cette profession. Sans compter que chaque prêtre est, forcément, plus ou moins un cérémonialisie.

Il s’arrêta

— Eh ! bien, monsieur Francis ?…

— Eh ! bien, je suis sûr que le gouvernement doit comprendre de quelle énorme importance il est que tout marche régulièrement et sans accroc. Si le nouveau service divin, surtout à ses débuts, comportait le moindre élément de désordre ou de ridicule, cela causerait un grand dommage à l’objet qu’il poursuit. Et, ainsi, j’ai été délégué vers vous, monsieur Brand, pour vous faire savoir qu’il existe un groupe d’hommes qui ont possédé une expérience toute particulière de ces choses, et qui sont entièrement prêts à